Voyage : la liste des lieux à ne surtout pas visiter en 2020
7 janvier 2020 à 17h30 par A.L.
Si Lonely Planet ou le National Geographic dresse chaque année sa liste des destinations à ne surtout pas rater, Fodors vient quant à lui de dévoiler celles où il ne faut pas aller. Décryptage.
Une de vos nouvelles résolutions de cette nouvelle année est de partir plus souvent en voyage ? Lisez donc ce qui suit. En effet, à l'inverse de Lonely Planet, National Geographic ou encore le New York Times qui établissent, chaque année, les meilleures destinations à visiter, le site Fodors vient quant à lui de lister les lieux où ne surtout pas se rendre en 2020. Découvrez sans plus tarder le classement des endroits à éviter.
11ème. Le Cap en Afrique du Sud
Selon Fodors, le Cap est un lieu charlant. Mais voilà qu'à moins de dix kilomètres de là, une guerre se déroule entre les "gangs" de la ville qui ne craignent pas la violence contre la police. Au cours des six premiers mois de 2019, près d'un millier de meurtres ont eu lieu. De quoi refroidir les éventuels touristes, nous y compris.
10ème. L'île de Komodo en Indonésie
Cette île est le QG des dragons de Komodo, soit des petits dragons devenus la cible des braconniers. En effet, si les tourisques s'approchent trop près des animaux pour leur donner à manger malgré l'interdcition, le gouvernement indonésien aimerait aujourd'hui lancer une taxe touristique d'environ mille dollars.
9ème. Les îles Galapagos
Très aimées, les îles Galapagos sont prisées par de nombreux voyageurs qui ne cessent d'augmenter. Un tourisme de masse qui peut parfois abîmer cet écosystème unique. Malheureusement, le nombre de touristes continue à augmenter. Les îles Galapagos sont donc en train de trouver des moyens de freiner le tourisme.
8ème. Parque Nacional Arrecifes de Cozumel au Mexique et 7ème. Florida Keys National Marine Sanctuary en Floride, États-Unis
Que ce soit en Floride ou au Mexique, ces deux récifs coraliens sont en train de mourir, car contaminés par une maladie très difficile à contrôler et qui se propage rapidement.
6ème. Le Cervin en Suisse
À cause du réchauffement climatique qui provoque la fonte du permafrost, le Cervin suisse devient risqué. Onze grimpeurs sont morts en 2018 et sept en 2019.
5ème. Hanoi Train Street au Vietnam
Pour avoir la parfaite photo à publier sur Instagram, nombreux sont les touristes qui bloquent les voies ferrées qui traversent le vieux centre de Hanoi sur lesquelles passe un train, deux fois par jour, entre les maisons et les cafés. Face à ce problème, le gouvernement vietnamien a dû fermer un certain nombre de cafés et demande donc aux voyageures d'arrêter de prendre des photos et des vidéos.
4ème. Bali en Indonésie
Destination en vogue, Bali est en train de subir son tourisme de masse. En effet, la pollution sur les plages est devenue si incontrôlable que le gouvernement a déclaré une "urgence poubelle" en 2017 : l'utilisation de plastique jetable est interdite depuis décembre 2018. De plus, les hôtels de luxe, les terrains de golf et les villas de vacances utilisent tellement d'eau qu'ils menacent la vie des agriculteurs locaux.
3ème. Angkor Vat au Cambodge
Fan d'histoire, vous adorez visiter les temples ? Malheureusement, il faudra éviter la ville temple d'Angkor Vat qui existe depuis 900 ans au Cambodge. En effet, à cause du manque de savoir-vivre des touristes qui grimpent sur les murs, polluent en jetant de déchets, le lieu se détériore à la vitesse de l'éclair.
2ème. Big Sur en Californie
Big Sur est sûrement l'un des endroits les plus prisés sur la route qui longe l'océan Pacifique en Californie. Mais voilà, depuis la diffusion de la série Big Little Lies, le nombre de touristes a augmenté. Or le lieu ne dispose pas d'assez de toilettes pour une si forte affluence, entraînant ainsi des désagréments peu réjouissants.
1er. Barcelone en Espagne
Barcelone la ville à éviter ? À en croire Fodors, oui. À cause de la folle augmentation de Airbnb, les loyers ont tellement gonflés que les vrais habitants peinent à se loger. croule sous le nombre de touristes. Au cours des douze dernières années, le nombre de résidents a diminué de près de 50 %.