Sexe : les meilleures positions à tester sur la plage

C’est bientôt l’été, et surtout les vacances. Le moment idéal pour faire de nouvelles rencontres ou tester de nouvelles choses, comme par exemple faire l’amour dans un endroit insolite. Et par endroit insolite, on pense à une plage abandonnée, en pleine journée ou au coucher du soleil... Ca vous donne envie ? Mais pas question de faire les choses n’importe comment. Voici, selon les américains de Women's Health, les meilleures des meilleures positions pour atteindre le septième ciel au bord de l’eau (et évitez d’avoir des grains de sable partout) : 

« La vague » : l’homme est assis, cul nu, sur le sable. La femme s’installe sur lui et le laisse la pénétrer. C’est simple et efficace. 

« La sauveteuse » qui veut regarder le coucher du soleil tout en prenant du plaisir : l’homme est à nouveau assis sur le sable, mais cette fois-ci, il écarte les jambes et laisse sa partenaire prendre place entre ses cuisses.

« La surfeuse » : l’homme est allongé sur le sable, telle une planche de surf. La femme s’allonge sur lui, avec les bras en appui sur le sable.

« La cuillère de bord de mer » : c’est exactement le même principe que la position de la « cuillère », sauf que vous admirer tous les deux l’horizon. C’est romantique, non ? 

« L’huître » est décrite comme une variation de « la cuillère », puisque les deux partenaires s’allongent sur le côté et se font face. La femme peut placer une de ses jambes au-dessus de l’homme pour faciliter la pénétration.

« Le gardien de la grotte » : il arrive de trouver des grottes bien sympathiques sur certaines plages. De quoi inspirer ces messieurs. Pour cette position, l’homme se tient debout. La femme vient se placer juste devant lui et se penche vers l’avant en plaçant ses mains soit sur les parois de la grotte, soit sur ses tibias. Les mains de l’homme stimulent quant à elles le clitoris de madame pendant toute la durée du rapport. 

Pour plus d’intimité, vous pouvez évidemment utiliser votre serviette de plage pour vous couvrir.