"Devenir papa, ça m'a appris l'humilité" : Flo Delavega se confie sur sa paternité

Publié : 17 mars 2021 à 10h38 par A.L.

VOLTAGE
Flo Delavega avec son fils.
Crédit : Capture d'écran Instagram @flodelavega

Quatre ans après sa séparation avec son acolyte Jérémy Frérot, Flo Delavaga vient de signer son grand retour musical avec son premier album solo intitulé "Rêveur Forêveur". L'occasion pour lui de faire la promotion de son disque et de se confier sur sa vie personnelle.

Souvenez-vous. En juin 2017, le célèbre duo des Fréro Delavega se séparait après une dernière tournée en France et un concert place des Quinconces à Bordeaux, devant 25.000 spectateurs. Après deux albums, un million d’exemplaires écoulés, des tubes à gogo tels que Le chant des sirènes et quatre ans d'absence, Florian Garcia alias Flo Delavega a aujourd'hui décidé de signer son grand retour dans l'industrie musicale.

En effet, le chanteur de 33 ans vient de sortir son premier album solo baptisé Rêveur Forêveur. Un disque très personnel dans lequel il évoque sa nouvelle vie dans les Landes auprès de sa femme, la chanteuse argentine Natalia Doco, et de leur fils. Une paternité qui l'a d'ailleurs métamorphosé.

"Ça change tout d'être papa"

"Ça change tout d'être papa, on n'est plus le fils de, on devient aussi le papa de... Et tout ce que ça engendre. C'est une grande épreuve, un grand défi", a ainsi récemment confié Flo Delavega dans les médias.

"Devenir papa, ça m'a appris l'humilité, et le respect pour tous les parents du monde, parce que je pense que c'est profondément bouleversant, profondément difficile, d'accompagner un être humain dans son développement en voulant le laisser libre et en même temps en voulant lui inculquer des valeurs, mais ces valeurs, est-ce qu'elles sont réellement justes ? On n'en sait rien. Je trouve ça très difficile, et puis on découvre un être humain qui a sa propre personnalité. (...) C'est assez dur, mais c'est beau", a-t-il poursuivi.

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"Je ne me sentais plus à ma place ni dans la capitale, ni avec les Frero. J’avais besoin de me connecter au rêve écologique mais aussi, mais d’abord, au rêve silencieux enfoui en moi", s'est justifié l'artiste qui semble donc, aujourd'hui, avoir enfin trouvé son bonheur.