Le « serendipidating » : la mauvaise manie des célibataires qui explique leur solitude (vidéo)
Publié : 24 avril 2018 à 15h15Aurélie Amcn
Crédit : Pixabay
Le « serendipidating » est la nouvelle tendance de dating à éviter de toute urgence pour ne pas finir vieille fille avec 50 chats dans une maison isolée en haut d'une colline. Ok, on abuse. Mais, peut-être, pas tant que ça⬦
Encore un mot bizarre ! Oui, un nouveau terme intègre le lexique de la drague, déjà bien épais. Le « serendipidating », de l’anglais « serendipity » pour « heureux hasard » en français, fait des ravages auprès des célibataires. Le principe : vous êtes inscrit sur une application de dating, vous entrez en contact avec un(e) potentiel(le) partenaire, mais vous ne cessez de repousser votre premier rendez-vous. La raison ? Vous êtes persuadé(e) de pouvoir tomber sur une personne plus intéressante et plus attirante. Résultat : non seulement vous passez peut-être à côté de votre âme-soeur, mais surtout, vous êtes encore et toujours célibataire. Les médias américains mettent alors en garde les utilisateurs des sites de rencontre, tout comme Alexis Meads, une love-coach très active sur Youtube. Cette dernière vient de publier une vidéo dans laquelle elle explique cette nouvelle tendance et tente de livrer de précieux conseils pour sortir du « serendipidating ». « Avec Tinder, et toutes ces autres applications, il y a un nombre illimité de célibataires. Il y a toujours une personne ‘’potentiellement’’ meilleure qui peut apparaître au bout de votre doigt (…), ce qui intensifie ce sentiment de « serendipidating », car on se questionne constamment sur nos propres décisions », commence-t-elle. Pour illustrer ses propos, elle évoque le choix d’un nouveau job, ou encore de l’achat d’un bien immobilier. Selon elle, à trop hésiter, on se retrouve bien souvent sans emploi ou sans toit : « Le problème est que vous vous conditionnez pour rester célibataire à vie. Vous avez constamment peur de l’engagement, car vous pensez trouver mieux ». L’herbe n’est pas forcément plus verte ailleurs…